La crypto n’oublie pas l’humanité
La Turquie, pays transcontinental de la péninsule de l’Asie occidentale, a été frappée par de terribles tremblements de terre le 6 février. Le pays est éparpillé et le monde entier manifeste son soutien aux victimes sous diverses formes. Les principales sociétés de cryptomonnaies et les bourses se sont également engagées à soutenir la Turquie par tous les moyens possibles.
La première secousse a été enregistrée comme étant de magnitude 7.8, suivie d’un choc de magnitude 7.6 en quelques heures seulement. Dans la soirée, le centre de la Turquie a connu un tremblement de terre avec une lecture de 6.0 sur l’échelle de Richter. Après ces trois secousses massives, la nation a également été frappée par un séisme le matin du 7 février.
Cette récente catastrophe naturelle ressemble historiquement à celle qui s’est produite dans le nord-est de la Turquie en 1939. Dans le passé, il y a eu plus de 30’000 pertes de vie. Aujourd’hui, le nombre de victimes s’élève à 4’300 et les recherches de nombreux survivants se poursuivent.
Aides à la Turquie
Les pays du monde entier prient pour la nation dévastée et ses citoyens. Ils envoient de l’aide. La communauté cryptographique s’est également mobilisée pour ce soutien. Des bourses telles que Bybit, BitMex, Bitfinex, BitGet et Binance ont officiellement fait part de leur aide sur Twitter. L’aide se présente sous la forme de dons en fiat comme en crypto, d’envoi de kits d’aide et bien plus encore. Bitmex fait don de la compétition de trading de la semaine au Red Crescent, le mouvement de la Croix Rouge en Turquie. D’éminentes personnalités de la crypto montrent leurs condoléances et prient pour apporter la force nécessaire aux victimes.
Le soutien de la communauté cryptographique à de telles catastrophes naturelles ou causées par l’homme n’est pas nouveau. Le monde a été témoin d’un tel scénario lors de la propagation du COVID-19, ainsi que pendant la guerre entre l’Ukraine et la Russie. Les dons et les financements en crypto supprimeront les barrières que l’on doit subir dans les transactions en fiat.
